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Respirer Dieu

Marie Hélène a écrit:

Je rebondis, sur « Respirer Dieu » … livre du P. Yvon Joseph Moreau

pour moi, la prière c’est justement une respiration continuelle entre l’homme et Dieu

certains en parlent très bien :

Christophe André https://www.youtube.com/watch?v=doEa9AQFFVY

Annick De Souzenelle (le début de la video) https://www.youtube.com/watch?v=Ea53fCjlBes

P. Philippe Dautais https://www.youtube.com/watch?v=9BrajhQ2hS




Prières arc en ciel

Catherine a écrit:
Peut-être que prier c’est simplement me relier à vous tous les matins  et à d’autres encore, avec les mots qui me traversent ou en silence,
Peut-être que prier c’est méditer, respirer, reprendre souffle,
Peut-être que prier c’est aussi nous relier  à plus grand que nous,
voir que le monde est beau, se réjouir du printemps, dire merci,
se « souhaiter  une  vie  bonne avec et pour les autres « ,
se situer sur le versant de la confiance  plutôt que sur la pente  de l’angoisse
Peut-ête que c’est lire un psaume, avec Françoise et Dominique  :
« Fais-moi connaître tes chemins, Seigneur ; enseigne-moi tes routes. »(Ps 25(24),4)
Peut-être que c’est allumer une bougie,
envoyer un message,
prononcer le nom de ceux que nous aimons, pour qui nous tremblons.
Peut-être que prier c’est ce que nous inventons chacun et ensemble chaque matin à 9 heures, sans savoir vraiment le définir et peu à peu construire cette communion qui n’est pas seulement communauté virtuelle…



Qu’appelle t on prier?

Francoise a écrit:
Bonjour à vous tous
C’est un moment important pour Dominique et moi de prendre ce temps chaque jour pour être en communion ! Avec le psaume 25 en ce moment:
« Fais-moi connaître tes chemins, SEIGNEUR ; enseigne-moi tes routes. »(Ps 25(24),4)
Sinon je réitère l’envoi sur le colloque « qu’appelle t on prier ? » que je vous avais déjà envoyé mais cette fois en dissociant les intervenants, avec un lien pour écouter chacun, ainsi vous pouvez choisir celui que vous voulez au moment où vous pouvez:
Colloque des rencontres de Monaco en 2017,  // Qu’appelle-t-on prier ? »
 avec Delphine Horvilleur,
https://youtu.be/9dO8RCEpnhI
Abdennour Bidar
https://youtu.be/B0vFo9u2p9M
et Olivier-Thomas Venard , dominicain
https://youtu.be/M59LBzUkLME



En communion

Michèle Goyne a ecrit:

« Je vous transmets un lien d un très bel hymne que j écoute souvent et qui me met en Joie.
Fraternellement je vous serre sur mon cœur  »

Hymne réjouis toi

Il y a aussi une très belle interview de l abbé Pierre il y a plus de 50 ans

https://youtu.be/LFcYou1nnmU




Prière et méditation

Cher.e.s ami.e.s,
Nous vivons des moments exceptionnels et bouleversés.
Ensemble pour ceux qui le désirent, relions nous chaque jour par une prière ou une méditation, pour se soutenir les uns les autres.
A 9 h soyons tous en communion
Nous vous invitons a partager cette initiative avec vos amis.
Affectueusement
Michèle G et Françoise M

PS retrouver des liens susceptibles de vous intéresser :

La lecture biblique au quotidien

https://levangileauquotidien.org/FR/gospel

Ou

https://www.aelf.org/2020-03-17/romain/messe#messe1_lecture3

un article sur méditation et prière, avec Jean-Guilhem Xerri

https://fr.aleteia.org/2019/07/07/yoga-meditation-pleine-conscience-un-rapport-avec-dieu/

Un extrait de video de Denis  Marquet sur la prière,

 




mise en ligne 2ème épitre aux corinthiens

Vous retrouverez les commentaires en cliquant sur

http://lecturedelabible.fr/deuxieme-epitre-aux-corinthiens/




Pâques 2019

L’incendie de la cathédrale Notre-Dame, événement inouï, imprévisible, nous a tous sidérés.
L’ampleur des réactions, l’émotion exprimée partout dans le monde nous interroge sur la valeur symbolique d’un tel bâtiment.
Par ailleurs, il n’est pas anodin de constater que cet événement eut lieu lors de la semaine sainte, semaine où Jésus est arrêté et mis à mort, justement pour ses propos tenus sur le temple, paroles perçues comme blasphématoires par les autorités religieuses.
Pour approfondir le sens de nos réactions affectives à cet événement, je vous propose d’en partager toutes les fortes résonances bibliques.
En effet ce thème du temple est central dans ce millénaire où toute la révélation biblique s’est déployée :
– sa construction (10ème siècle av jc sous le roi Salomon)
– ses deux destructions (la 1ère en 587 av jc, la 2ème en 70 ap jc)
– enfin l’avènement d’un temple spirituel, universel appelé à rassembler l’humanité.

La Construction du Temple

Le roi David (cf les livres de Samuel) qui après s’être construit un palais émet le projet de construire un temple pour son Dieu, Yhwh. Lieu qui à l’instar des peuples environnants a pour objectif de fédérer tout un peuple autour d’un culte.
Ce projet n’est pas agréé par Yhwh, mais c’est Yhwh qui donne une maisonnée (une dynastie) à David.
« Yhwh te fera une maison. Lorsque tes jours seront accomplis et que tu seras couché avec tes pères, j’élèverai ta descendance après toi, celui qui sera issu de toi-même, et j’établirai fermement sa royauté. C’est lui qui bâtira une Maison pour mon Nom. « (2 Sm 7,11-13)

C’est son fils Salomon qui devra construire le temple à Jérusalem. Dans une belle prière lors de la dédicace du temple, Salomon reconnait que le Dieu créateur ne peut être enfermé dans un lieu aussi beau soit-il,
« Est-ce que vraiment Dieu pourrait habiter sur la terre ? Les cieux eux-mêmes et les cieux des cieux ne peuvent te contenir! Combien moins cette Maison que j’ai bâtie ! » (1 R 8,27)
Mais ce temple sera un lieu de pèlerinage et de rassemblement de tout le peuple, il est la réplique du palais céleste.
Certains psaumes traduisent l’amour touchant du peuple pour ce lieu:
« Comme elles sont aimées, tes demeures,Yhwh de l’univers ». (Ps 84,1)

La première destruction.

Le Temple de Jérusalem, pilier de l’identité du peuple d’Israël et signe de la présence de Dieu à leur côté, est détruit en 587 av. J.C. et le peuple déporté à Babylone.
Les prophètes ont montré toute l’ambiguïté de cet attachement au temple. Ils dénoncent cette confiance superstitieuse au temple qui s’exerce au détriment de l’exercice de la justice :
« Améliorez votre conduite, votre manière d’agir, pour que je puisse habiter avec vous en ce lieu.  Ne vous bercez pas de paroles illusoires en répétant « Palais du Yhwh ! Palais du Yhwh ! Palais du Yhwh ! Il est ici. »  Mais plutôt amendez sérieusement votre conduite, votre manière d’agir, en défendant activement le droit dans la vie sociale ; n’exploitez pas l’immigré, l’orphelin et la veuve … je pourrai alors habiter avec vous en ce lieu… Mais vous vous bercez de paroles illusoires qui ne servent à rien.  Pouvez-vous donc commettre le rapt, le meurtre, l’adultère, prêter de faux serments, … puis venir vous présenter devant moi dans cette Maison sur laquelle mon nom a été proclamé et dire : « Nous sommes sauvés ! » et puis continuer à commettre toutes ces horreurs ?  Cette Maison sur laquelle mon nom a été proclamé, la prenez-vous  donc pour une caverne de bandits. (Jr 7,3 +)

Sous l’action des prophètes va s’opérer une métamorphose dans  la perception qu’aura le peuple  de son identité. Dépossédé de lieu de culte, progressivement le socle de cette identité glissera d’une pratique cultuelle à l’étude de la Tora (la Parole, la Loi, l’Enseignement) et donnera naissance au Judaïsme.
Néanmoins au retour de captivité en 535, la reconstruction du temple fut entreprise et ce nouveau temple est inauguré en 515.

Beaucoup plus tard, 500 ans après, Hérode le Grand entreprit une extension très importante quelques années avant la naissance de Jésus.

 La seconde destruction

Jésus revendique ce temple comme « la maison de son Père » et constatant les trafics autour du temple, il se met en colère :
« Il trouva dans le temple les marchands de bœufs, de brebis et de colombes ainsi que les changeurs qui s’y étaient installés.  Alors, s’étant fait un fouet avec des cordes, il les chassa tous du temple, et les brebis et les bœufs ; il dispersa la monnaie des changeurs, renversa leurs tables »
Puis comme Jérémie cité plus haut «  il dit aux marchands de colombes : « Otez tout cela d’ici et ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic. »(Jn 2,14).

Plus tard, quand ses disciples lui montrent les merveilles de cette construction, Jésus annonce une nouvelle catastrophe :
«  Comme quelques-uns parlaient du temple, de son ornementation de belles pierres et d’ex-voto, Jésus dit : « Ce que vous contemplez, des jours vont venir où il n’en restera pas pierre sur pierre : tout sera détruit » ». (Lc 21,5)
Alors dans une phrase très énigmatique Jésus annonce qu’à la destruction matérielle du temple succédera une construction nouvelle en très peu de temps :
 « Jésus leur répondit : « Détruisez ce temple et, en trois jours, je le relèverai. »  Alors ces Juifs lui dirent : « Il a fallu quarante-six ans pour construire ce temple et toi, tu le relèverais en trois jours ? »  Mais lui parlait du temple de son corps.  Aussi, lorsque Jésus se releva d’entre les morts, ses disciples se souvinrent qu’il avait parlé ainsi, et ils crurent à l’Ecriture ainsi qu’à la parole qu’il avait dite. » (Jn2,19)

Cette phrase sur la destruction du temple, déformée lors de son procès, sera formellement le motif de sa condamnation à mort :
« Or les grands prêtres et tout le Sanhédrin cherchaient un faux témoignage contre Jésus pour le faire condamner à mort ;  ils n’en trouvèrent pas, bien que beaucoup de faux témoins se fussent présentés. Finalement il s’en présenta deux qui  déclarèrent : « Cet homme a dit : “Je peux détruire le sanctuaire de Dieu et le rebâtir en trois jours.” » Le Grand Prêtre se leva et lui dit : « Tu n’as rien à répondre ? De quoi ces gens témoignent-ils contre toi ? »  Mais Jésus gardait le silence.» (Mt 26,61)

En réalité, Jésus n’avait pas dit qu’il détruirait le temple mais… qu’il sera détruit :
Cette phrase lui vaudra moqueries et insultes pendant son ‘chemin de croix’ : «  Les passants l’insultaient, hochant la tête et disant : « Toi qui détruis le sanctuaire et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, si tu es le Fils de Dieu, et descends de la croix ! » (Mt 27,39)
Mais avant de mourir, Jésus avait annoncé à ses disciples que cette destruction prochaine du temple était un signe symbolique annonçant la fin des temps et le chapitre 24 de l’évangile de Matthieu exhorte ses disciples à tenir bon dans cette apocalypse (apocalypse = révélation finale) avec la promesse d’une nouvelle naissance dans la douleur.
« Comme il était assis, au mont des Oliviers, les disciples s’avancèrent vers lui, à l’écart, et lui dirent : « Dis-nous quand cela arrivera, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde. 
Jésus leur répondit : « Prenez garde que personne ne vous égare. Car beaucoup viendront en prenant mon nom ; ils diront : “C’est moi, le Messie”, et ils égareront bien des gens.  Vous allez entendre parler de guerres et de rumeurs de guerre. Attention ! Ne vous alarmez pas : il faut que cela arrive, mais ce n’est pas encore la fin.  Car on se dressera nation contre nation et royaume contre royaume ; il y aura en divers endroits des famines et des tremblements de terre. Et tout cela sera le commencement des douleurs de l’enfantement. Alors on vous livrera à la détresse, on vous tuera, vous serez haïs… ils se livreront les uns les autres, ils se haïront entre eux.  Des faux prophètes  surgiront en foule et égareront beaucoup d’hommes.  Par suite de l’iniquité croissante, l’amour du grand nombre se refroidira ;  mais celui qui tiendra jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé. Cette Bonne Nouvelle du Royaume sera proclamée dans le monde entier …. Et alors viendra la fin. »

Le temple est détruit pas les romains en 70.

Construction d’un Temple, non plus de pierre mais de chair.

La résurrection du Christ le troisième jour après sa mort éclaire l’énigme de la reconstruction du temple en trois jours. C’est le Christ ressuscité en chair et en os qui est le véritable temple. L’ambigüité du temple de pierre est levée, il trouve son véritable sens dans la résurrection à laquelle chacun de nous est appelé personnellement.
« Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous ?  Si quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira. Car le temple de Dieu est saint, et ce temple, c’est vous. » (1Co 3,16).

Ce qui est sacré n’est plus un bâtiment de pierre, mais chaque personne prise individuellement.
Ce temple rassemble tous les membres en un seul corps, un corps universel :
« En effet, comme nous avons plusieurs membres en un seul corps et que ces membres n’ont pas tous la même fonction,  ainsi, à plusieurs, nous sommes un seul corps en Christ, étant tous membres les uns des autres, chacun pour sa part » (Rm 12,4)

La tête de ce corps est le Christ :
« C’est lui, en effet, qui est notre paix : de ce qui était divisé, il a fait une unité. Dans sa chair, il a détruit le mur de séparation : la haine. Il a aboli la loi et ses commandements avec leurs observances. Il a voulu ainsi, à partir du Juif et du païen, créer en lui un seul homme nouveau, en établissant la paix, et les réconcilier avec Dieu tous les deux en un seul corps, au moyen de la croix : là, il a tué la haine.  Il est venu annoncer la paix à vous qui étiez loin, et la paix à ceux qui étaient proches. Et c’est grâce à lui que les uns et les autres, dans un seul Esprit, nous avons l’accès auprès du Père. Ainsi, vous n’êtes plus des étrangers, ni des émigrés ; vous êtes concitoyens des saints, vous êtes de la famille de Dieu.  Vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondation les apôtres et les prophètes, et Jésus Christ lui-même comme pierre maîtresse. C’est en lui que toute construction s’ajuste et s’élève pour former un temple saint dans le Seigneur. C’est en lui que, vous aussi, vous êtes ensemble intégrés à la construction pour devenir une demeure de Dieu par l’Esprit » (Eph 2, 14-22)

Que de ce drame de l’incendie de Notre-Dame naisse une prise de conscience collective!

Qu’il nous aide à dépasser toutes nos appartenances ethniques, politiques, sociales ou religieuses, pour ne faire qu’un seul corps avec toutes nos diversités!




Dimanche 24 mars 2019

Dimanche dernier, nous avons donc échangé sur les trois textes de la liturgie du jour (3ième dimanche du carême 2019) et tenter de dégager les éclairages que chacun de ces textes portent sur les deux autres:

Exode 3 (le buisson ardent)

Dans ce premier texte de l’appel de Moïse du buisson qui brûle sans se consumer, c’est la révélation d’un dieu qui entend, qui voit et qui connait notre souffrance. C’est en s’appuyant sur cette expérience que nous pouvons construire notre foi. Face à cette souffrance de son peuple, Dieu intervient et révèle à Moïse son NOM. Cet engagement de Dieu appelle de notre part une réponse (donc une responsabilité). Vous pouvez retrouver plus de commentaire sur le site :

http://bible2.falguerolles.org/introduction-au-livre-de-lexode/exode-1-15-moise-les-chemins-de-la-liberte/#Lappel_de_Dieu_a_Moise_au_buisson_ardent_Ex_3_1-10

Puis nous avons échangé sur l’articulation de ces trois mots : liberté/ responsabilité /culpabilité.

1 Corinthiens 10

Paul en s’adressant à la communauté naissante située à Corinthe (ville portuaire connue pour ses mœurs assez dépravés) prend exemple sur certains passages de ce livre de l’Exode pour illustrer le soutien du Christ (notre rocher) qui nous guide (la nuée) et nous alimente à travers nos difficultés (la manne et la source qui jaillit du rocher dans le désert), mais aussi la responsabilité de chacun pendant ce difficile chemin de liberté semé d’embûches…Ces avertissements de Paul peuvent avoir un caractère un peu inquiétant… mais Dieu est patient et fidèle:
« Les tentations auxquelles vous avez été exposés ont été à la mesure de l’homme, Dieu est fidèle ; il ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces. Avec la tentation, il vous donnera le moyen d’en sortir et la force de la supporter »

 Luc 13 ,1-9

La première partie de ce passage est assez déroutante et paradoxale, car d’une part il nous dit que les malheurs qui arrivent à certaines personnes ne sont pas liés à des péchés qu’ils auraient commis et que d’autre part si nous ne tournons pas notre regard vers Dieu (conversion), nous subirons ce type de malheur … C’est là aussi un avertissement inquiétant:
« Non, je vous le dis, mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même »
mais …la deuxième partie avec la parabole du figuier stérile met en scène deux personnages autour de cet arbre planté au milieu de la vigne (la vigne représentant traditionnellement le peuple d’Israël, c’est-à-dire chacun de nous): le propriétaire qui veut abattre ce figuier stérile et inutile et le vigneron qui, lui, demande au propriétaire de faire preuve de patience. Il promet au propriétaire de s’en occuper pour qu’il donne enfin du fruit. Ces deux personnages, le maître et le vigneron sont les deux facettes de Dieu tel que nous pouvons nous le représenter. Mais en final, face à la stérilité des hommes, c’est la patience de Dieu, le Dieu vigneron, qui l’emportera sur le Dieu maître. Notre conversion, c’est aussi changer notre représentation d’un Dieu punisseur et croire que le dessein de Dieu est infiniment patient et bienveillant (…mais sans rien laisser passer !).

Nous avons clôturé la matinée par la prière du psaume 102 (103) :
« JE SUIS tendresse et pitié, lent à la colère et plein de fidélité »

Dieu est cette flamme au milieu de nous




Noël 2018: Tenons bon!

Ce message est toujours d’actualité:

http://bible2.falguerolles.org/message-de-noel-2017/

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dernière publication: chapitre 13 de Matthieu

Vous trouverez les commentaires sur les paraboles au chapitre 13 de l’évangile de Matthieu, en cliquant sur le lien suivant:

http://lecturedelabible.fr/evangile-de-matthieu/matthieu-13/

Dans ces commentaires, deux thèmes particuliers ont été développés:

  • le thème de la révélation biblique
  • le thème des enfers